י׳ בשבט ה׳תשפ״ב
Casos prácticos: 10-11 – 128
- Il est permis de rapporter à un ‘hathan une maladie interne dont souffre la jeune fille, sous réserve des conditions requises [1. Qu’il le sache de façon certaine. 2. Qu’il n’exagère pas. 3. Qu’il agisse dans un but constructif. 4. Qu’il n’ait pas d’autre moyen d’atteindre ce but constructif. 5. Qu’il ne cause pas ainsi de tort mais seulement un manque à gagner]. Et s’il ne le sait pas de façon certaine, il n’a le droit de rapporter la chose que s’il estime que le ‘hathan éclaircira le point et n’annulera pas immédiatement le chiddoukh.
- Il a le droit de rapporter au ‘hathan que dans le foyer de la jeune fille, on ne se comporte pas de manière pudique, même si les conditions ci-dessus ne sont pas respectées. Et s’il ne le sait pas de lui-même, il lui dira explicitement qu’il a seulement eu vent de cela et qu’il y a lieu d’éclaircir.
En résumé : la personne doit veiller scrupuleusement à la voie qu’elle emprunte et en particulier à ce qui sort de sa bouche, de ne pas intervenir dans les relations entre d’autres personnes, sauf si elle est certaine de l’exactitude des faits et qu’elle agit dans un but constructif et non par haine. Elle doit également mesurer les conséquences de ses propos, qu’ils ne dépassent pas les prescriptions de la halakha, à D. ne plaise. Et D. lui viendra alors en aide.
FIN DE L’OUVRAGE ‘HAFETS ‘HAIM
Cada segundo y segundo que la persona sella su boca, se hace merecedor de la luz oculta que ningún ángel ni creación pueden imaginar (carta del Gaon de Vilna en nombre del Midrash)
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Leyes sobre el tema de los últimos días: Shemirat Halashon